Comme beaucoup de cantautori italiens, Francesco De Gregori revendique l’influence de la culture américaine sur son œuvre. Il s’inscrit tout particulièrement dans la droite ligne des protest songs de Bob Dylan ou Leonard Cohen. Considérant la musique comme partie intégrante de la littérature, il puise ici aussi bien dans la chanson populaire américaine que dans la variété italienne.