The Horrors : les indispensables

The Horrors : les indispensables

Au milieu des années 2000, les premiers enregistrements du groupe frappent par un son explosif qui confronte basse frénétique, chant orageux et guitares féroces. Leur rock garage s'oriente rapidement vers des expérimentations shoegaze et new wave, avec claviers songeurs et rythmiques lo-fi. Faris Badwan exploite de plus en plus l'aspect nonchalant de sa voix grave, menant leurs compositions avec le flegme d'un dandy. Si leurs arrangements prennent un tour contemplatif, les Londoniens conservent les rythmes rapides et la puissance rock qui les rendent redoutables sur scène.

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