Éclectisme, voilà le maître mot de Sopico, rappeur du 18e arrondissement parisien, dont les références transcendent le rap. Il apprend la guitare pour jouer Nirvana ou D'Angelo, plonge dans le lyrisme des géants de la chanson, de Charles Aznavour à Jacques Brel, s'inspire des punchlines de Booba ou Orelsan. Ses intrus planantes et beats puissants puisent dans la trap de Drake ou Travis Scott.