RENAISSANCE

RENAISSANCE

Avec RENAISSANCE, Beyoncé invite ses fans à se sentir uniques, solides et sexy. Conçu pendant le confinement, ce septième album de la chanteuse célèbre la liberté, sur fond de dance et de house. Ces 16 bangers en puissance évoquent également la libération, le lâcher-prise ou encore la confiance en soi, des thèmes nécessaires après une période particulièrement éprouvante. Avec RENAISSANCE, la diva américaine fait passer le fun et l’insouciance avant tout. C’est un peu comme si vous veniez de recevoir votre salaire un vendredi soir et que vous sortiez avec une seule idée en tête : vous éclater sans contraintes et en toute liberté, sans réfléchir à ce que les autres attendent ou pensent de vous. L’album avait été introduit par le single très house « BREAK MY SOUL », influencé par un hymne de Robin S., et contenant des samples de Big Freedia. Mais sa palette sonore s’étend bien au-delà du genre : de l’afro-tech de « MOVE », sur lequel figurent d’ailleurs Tems et Grace Jones, à la fièvre disco pailletée de « CUFF IT », RENAISSANCE rend hommage, hymne après hymne, à la culture club Noire des années 80 et 90. Si l’euphorie et l’hédonisme occupent une place centrale sur l’album, on retrouve également ici des moments de douceur et d’introspection. « I know you can’t help but to be yourself around me [Je sais que tu ne peux pas t’empêcher d’être toi-même à mes côtés] », murmure-t-elle ainsi sur « PLASTIC OFF THE SOFA ». Ce titre plus sensuel sonne comme une chanson d’amour toute douce, chuchotée à l’oreille lors d’un barbecue estival. Sur « CHURCH GIRL », Queen B explique qu’elle a vécu des hauts et des bas, en racontant son histoire de survivante sur fond de R&B, de hip-hop, mais aussi de gospel. Et même si elle parle ici un peu de foi, elle conclut : « Nobody can judge me but me, I was born free [Personne ne peut me juger sauf moi, je suis née libre]. » Comme sur certains de ses anciens projets, Beyoncé embrasse également la culture Noire sur RENAISSANCE. Ainsi, « COSY » est le mantra d’une femme Noire qui n’a rien à prouver à personne. Elle est à l’aise dans sa peau et avec qui elle est, comme elle l’affirme dans le refrain. « PURE/HONEY » met en avant les origines de la culture vogue et ballroom. Introduit par des chants drag et un sample de Kevin Aviance, le titre révèle rapidement une fougue disco contagieuse. Une atmosphère euphorique que l’on retrouve également sur le dernier titre, « SUMMER RENAISSANCE », qui propulse encore plus loin dans le futur la disco rêveuse et libératrice de « I Feel Love » de Donna Summer.

Autres versions

Extras audio

Choisissez un pays ou une région

Afrique, Moyen‑Orient et Inde

Asie‑Pacifique

Europe

Amérique latine et Caraïbes

États‑Unis et Canada