Revenant tout en délicatesse à un son pop orchestral après les explorations légèrement country et blues du précèdent album, Elton John se révèle plus émouvant que jamais. De la grandiose « Tiny Dancer » en ouverture à la déchirante « Goodbye » en finale, le piano et la voix de l’artiste nous entraînent dans de doux dédales mélodiques, où des arrangements de violons viennent ajouter une dimension dramatique.