Happy Mondays : les indispensables

Happy Mondays : les indispensables

Plus affolants pour les parents anglais que les Stones en leur temps, les Happy Mondays n'auraient jamais dû devenir célèbres. Bez, le pote danseur qui jouait des maracas était en fait le meilleur musicien du groupe. Mais dans le délire chimique qui avait cours à Madchester, tout était possible. Tony Wilson, boss du label Factory et du club Hacienda, les voit jouer et les lance. Durant le Summer of Love de 1988, à défaut de grand talent vocal, Shaun Ryder impose son magnétisme, en pleine vague rave. L'album Bummed marche fort, le suivant encore plus. Depuis, l'heureux accident perdure.

Artistes en vedette

Choisissez un pays ou une région

Afrique, Moyen‑Orient et Inde

Asie‑Pacifique

Europe

Amérique latine et Caraïbes

États‑Unis et Canada