Robert Palmer : les indispensables

Robert Palmer : les indispensables

Après ses débuts dans un groupe reprenant les cuivres de la Stax dans les années 60, le chanteur anglais Robert Palmer construit sa carrière sur un son qui mêle pop et influences afro-américaines. Se lançant en solo avec une blue-eyed-soul rayonnante, emmenée par des claviers funk et une section rythmique au groove chaloupé, comme sur « Hey Julia », il passe ensuite au reggae avec une reprise de « Pressure Drop » de Toots Hibbert. Dans les années 80, il séduit un public de plus en plus large en intégrant des riffs de guitare rock, puis en expérimentant des sonorités synth pop.

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