La pétillante k-pop et la pop occidentale, plus posée, semblent parfois aux antipodes. Mais des compositeurs et compositrices de talent comme Tony Ferrari s’affairent à construire de solides ponts entre les deux genres. L’Américain s’applique autant quand il créé d’inoubliables ritournelles pour NCT 127 (« 2 Baddies ») que des accords pensifs pour Ally Barron (« Just Friends »). Dans les refrains et les mélodies qu’il façonne avec passion, une qualité domine : un pouvoir rassembleur quasi irrésistible.