Après le succès de son premier album, Miguel s’assure un contrôle créatif accru pour « Kaleidoscope Dream », en 2012. Naviguant entre R&B, pop, funk et rock, ses productions psychédéliques déploient basses fréquences, synthétiseurs obscurs et réverbération, tout en célébrant un héritage soul. Dans ces paysages illusoires et introspectifs, il fait contraster différentes facettes de la personnalité de son falsetto gracieux, oscillant entre solitude, sensualité et plaisirs coupables.