Dans une atmosphère angoissante, une voix terrible et des riffs féroces livrent une charge antimilitariste radicale. La violence brute du trash métal s’étend dans des manifestes comme « Now You’ve Got Something to Die For », tandis que « Omerta » évoque la mafia sicilienne dans une descente infernale vers la mort. La révolte culmine avec la guitare implacable de l’ex-membre de Megadeth Chris Poland, invité sur la pièce éponyme qui relaie l’entrevue d’un marine avouant les atrocités de la guerre en Irak.