L'année 1981 est marquée par le triomphe d'hymnes électropop taillés pour les pistes de danse. Des claviers cinglants du « Tainted Love » de Soft Cell au pastiche rap acidulé de Tom Tom Club, « Wordy Rappinghood », l'art du refrain est mis à l'honneur. Côté rythmes, l'influence du funk et du ska se fait sentir jusque dans les cadences chaloupées de Spandau Ballet ou The Specials.