Depuis les années 2000, Djodje s’est imposé comme un des grands représentants de la musique cap-verdienne. Crooner à la voix suave, il se démarque sur la scène lusophone avec son mix entraînant d’afropop, de kizomba, de cabo zouk et de coladeira. S’il puise souvent dans la romance, il explore également des horizons sonores plus atypiques au travers de collaborations passionnantes. « Mininu Di Oru » avec Princezito met ainsi en avant des textures folk traditionnelles, tandis qu’« Um Segundo », aux côtés de Ferro Gaito, embrase les clubs avec son rythme chaloupé et son air d’accordéon imparable.