Playlist recommandée
- 25 morceaux
- Best of Claude François · 1977
- Best of Claude François · 1977
- Comme d'habitude · 1968
- Best of Claude François · 1976
- Si j'avais un marteau · 1963
- Les indispensables de Claude François (Versions Originales) · 2001
- Le mal aimé - Le téléphone pleure · 1974
- Le lundi au soleil · 1972
- Les plus belles chansons de Claude François (Versions Originales) · 1968
- Si j'avais un marteau · 1963
Albums indispensables
- Sur ce vingt-cinquième et dernier album paru en 1977, Claude François se réinvente. Musicalement, il se tourne à nouveau vers les États-Unis et adopte des arrangements disco luxuriants. On retrouve même un groove reggae sur « Rubis », une chanson directement inspirée de Bob Marley. Les textes, quant à eux, évoluent grâce à sa collaboration avec le parolier et poète Étienne Roda-Gil, qui signe les éternels « Magnolias for Ever » et « Alexandrie Alexandra ». Avec ce nouveau succès, il s’établit définitivement comme l’un des plus grands importateurs de tendances de la chanson française.
- Lorsque sort son 21e album en 1974, Claude François est au sommet de sa carrière. Introduit par « Le mal aimé », une ballade chantée à contretemps faisant figure de pied de nez à ses détracteurs, le projet explore les peines sentimentales et la solitude. Revisitant la chanson d’amour sous forme d’un dialogue enfantin inédit, le single « Le Téléphone pleure » devient un des plus gros succès du chanteur, s’écoulant à plus de 80 000 exemplaires par jour dès sa sortie.
- 1976
Clips vidéo
Playlists de l’artiste
- Découvrez la magie des années yé-yé grâce à l'incontournable Claude François.
- Des titres scintillants qui s'habillent de pop et de disco.
Albums live
- 2023
À propos de : Claude François
Des yéyés à la disco, Claude François a importé en France les grands courants musicaux anglo-saxons des années 1960 et 1970 pour devenir l’incarnation majeure de la variété française. Malgré sa courte carrière, il a marqué son époque avec de nombreux tubes : « Magnolia », « Le téléphone pleure » ou encore « Alexandrie Alexandra ». Il a aussi révolutionné la représentation du chanteur de variété avec ses smokings à paillettes, ses brushings soignés, ses chorégraphies sautillantes et ses « Claudettes » qui l’accompagnaient sur scène. Né le 1er février 1939 en Égypte, Claude François y passe son enfance jusqu‘en 1959. La famille s’installe alors sur la Côte d’Azur, où Claude joue dans des petites formations locales. Il s’inscrit à l’Académie nationale de musique et prend des cours particuliers pour travailler sa voix. À l‘été 1961, il monte à Paris sur les conseils de Brigitte Bardot et de Sacha Distel, rencontrés au Papagayo, la boîte de nuit branchée de St Tropez. Comme tous les « yéyés » de sa génération, il fait surtout des adaptations en français de titres rock’n’oll ou twist venus d’Amérique ou d’Angleterre et obtient son premier succès en 1962 avec « Belles ! Belles ! Belles ! », transposition en français de la chanson « Girls Girls Girls (Made to Love) », composée par Phil Everly, des Everly Brothers. Lancé par l’émission « Salut les Copains », Claude François démarre alors une véritable carrière de chanteur. Il part en tournée en 1963 en première partie des Chaussettes Noires. Son look de jeune homme de bonne famille, ses cheveux blonds laqués et ses paroles aseptisées séduisent un large public, surtout féminin. Il enchaîne les succès, tels « Si j‘avais un marteau » (version française de « If I Had a Hammer », composé par Pete Seeger) ou « Comme d‘habitude » qu’il coécrit et qui sera bientôt repris par Paul Anka puis Frank Sinatra, Elvis Presley ou Nina Simone sous le titre « My Way ». L‘année 1966 voit l’apparition des « Claudettes », ses danseuses attitrées, les premières à danser en tenues légères devant les caméras de la télévision française. Après une période où ses chansons reprenaient la pop-R&B anglo-américaine (1963-1965), Claude François se tourne vers la musique soul (1967-1970) où les titres qu‘il adapte gagnent en agressivité. Dans les années 1971 à 1973, ce sont des chansons de charme qui prédominent, marquées par le retour de la voix et de la mélodie. Claude François s’entoure de nombreux compositeurs et paroliers de talent, comme Patrick Juvet qui lui écrit « le Lundi au soleil », grand succès de l‘année 1972. Claude François sait s‘adapter aux modes : entre 1974 et 1978, il enchaîne des titres marqués par les rythmes funk, reggae, country rock, bossa nova et enfin disco avec « Magnolias for Ever » ou « Alexandrie Alexandra ». Ces nouveaux tubes l’établissent définitivement comme l’un des plus grands importateurs de tendances de la chanson française. Claude François meurt le 11 mars 1978 dans son domicile parisien, des suites d‘une électrocution accidentelle. En 15 ans de carrière, « Cloclo » est devenu une idole de la chanson française grâce à son charisme et son perfectionnisme, immortel interprète de chansons légères, entraînantes et indémodables.
- DE
- Ismailia, Egypt
- NAISSANCE
- 1 février 1939
- GENRE
- Variété française