

Malgré cinq GRAMMY, le succès planétaire du tube « Get Lucky » et les participations prestigieuses de Georgio Moroder, Nile Rodgers, Pharrell Williams et même Julian Casablancas, le quatrième album des Daft Punk était surtout l’accomplissement d’une ambition teintée de nostalgie. En sondant la musique électronique qui l’avait rendu célèbre, le duo a renoué avec la science des musiciens californiens des années 70, la frénésie du UK garage et la grandeur du disco version 80’s. Un retour vers le passé qui les a consacré comme véritables érudits de l’électro et garants éternels de la French Touch.