Dédiée au comte Waldstein, ami et premier mécène de Beethoven, la Sonate pour piano no 21 en do majeur offre une puissante illustration du génie novateur du compositeur allemand. Nouvellement propriétaire d’un piano à queue Érard, au clavier plus grand, Beethoven y révolutionne le langage musical en explorant registres et tonalités, ainsi qu’un large spectre d’émotions. Le pianiste russe Emil Gilels relève ici les défis techniques que soulève cette œuvre, pour en révéler la merveilleuse architecture et la poésie. Un enregistrement de référence.
- Vladimir Horowitz
- Leonard Bernstein & Philharmonique de Vienne
- Arturo Benedetti Michelangeli, Jean Martinon & Orchestre National de France