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Des titres comme « happy never after », « nobody’s home » et « the broken hearts club » annoncent la sombre teneur de ce premier album : le jeune chanteur de Los Angeles a le cœur en miettes, et se le vide sur ces 13 pièces indie pop. Les mélodies, elles, nagent à contre-courant : égaillées par des guitares joyeuses ou un piano ensoleillé, elles appellent le sourire plutôt que les larmes. Ce contraste est fascinant, mais encore plus la grande authenticité dont fait preuve Garrett Nash, entre autres sur « insane ».

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