Fela Kuti

10 JANV. 2023

Lady (Ezra Collective Version) - EP

3 morceaux

- Zombie
- Zombie · 1976
- Gentleman
- Gentleman · 1973
- Interlude: This Is an Ashanti Proverb (Slow)
- Red Hot + Riot · 2002
- Kalakuta Show (Instrumental)
- Red Hot + Riot · 2002
- Interlude: Don’t Worry About My Mouth - O (Full Version)
- Red Hot + Riot · 2002
- No Agreement, Pt. 2
- The Best of the Black President · 1999
- Interlude: Music Is a Spiritual Thing
- Red Hot + Riot · 2002
- Open & Close
- Open & Close · 1971
- Intro: This Is an Ashanti Proverb
- Red Hot + Riot · 2002
- Water No Get Enemy
- The Best of the Black President · 1975

The '69 Los Angeles Sessions

The '69 Los Angeles Sessions

Après avoir écumé les routes américaines pendant huit mois, Fela Kuti enregistre cet album charnière en 1969 avec son groupe Nigeria 70. Ces sessions studio donnent naissance à des titres plus courts où se mêlent cuivres et guitares funk qui ne sont pas sans rappeler James Brown. Toujours empreint d’un highlife teinté de soul, le groove est dicté par Tony Allen à la batterie. Dans un anglais argotique, le pape de l’afrobeat scande des slogans percutants qui annoncent un engagement politique qui le poursuivra tout au long de sa carrière.
Zombie

Zombie

1976
Expensive Shit - EP

Expensive Shit - EP

Après avoir été arrêté et malmené par la police nigériane, Fela Kuti décide d’enregistrer cet album de deux titres pour dénoncer le harcèlement qu’il subit de la part des autorités. Entouré de son groupe Africa 70, le roi de l’afrobeat propulse un groove endiablé qui oscille entre rythmes traditionnels, touches de jazz et influences latines. Son chant percussif et rebelle porte un jeu de clavier hypnotique et aérien, notamment sur « Water No Get Enemy ». Kuti conjugue une fois de plus virtuosité musicale et contestation politique.
Gentleman

Gentleman

Après le départ d’Igo Chico, saxophoniste ténor des Africa 70, Fela Kuti décide d’apprendre à jouer de l’instrument pour le remplacer. En plus de produire cet album, le Nigérian signe ainsi une grande partie de son instrumentation. Parsemés d’improvisations envoûtantes au saxophone ou au piano électrique, parfois teintés de jazz comme sur « Fefe Naa Efe » ou « Igbe », ses arrangements afrobeat innovants accueillent un chant habité, critiquant avec véhémence les conséquences culturelles de la colonisation.