Après un premier succès au sein du groupe anglophone Taï Phong, c’est au début des années 80 que Jean-Jacques Goldman se lance en solo. Au micro et en français, il bouleverse la pop hexagonale avec des succès comme « Il suffira d’un signe » ou « Au bout de mes rêves ». Après avoir fait vibrer la France avec ses refrains fédérateurs, ce « musicien pour les pieds », comme il se définit lui-même, choisit de la faire danser avec des tubes comme « Quand la musique est bonne ». En parallèle, son engagement humanitaire lui vaut une reconnaissance qui dépasse largement la musique. (Re)découvrez un monument de la chanson française.